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L’Intelligence artificielle évoque souvent dans notre imaginaire des robots humanoïdes de films de science-fiction. L’IA s’intègre pourtant dans nos vies à tous, jusque dans nos poches ou plus précisément, dans nos téléphones portables. Les applications des banques en sont un parfait exemple. Tous les établissements les font évoluer en y intégrant de plus en plus d’intelligence artificielle pour proposer des services innovants et fidéliser leur clientèle. Petit aperçu de ces innovations qui équipent ou équiperont bientôt ces applis.
Poussées par la concurrence des banques en ligne mais aussi par la crise sanitaire, les banques traditionnelles accélèrent leur transformation digitale. Avec les limitations des contacts physiques et la fermeture des agences locales, elles repensent notamment leurs relations clients pour remplacer l’accompagnement du conseiller physique, jusque là leur principal atout. Et l’application mobile est cœur de leur stratégie.
Les premières fonctionnalités « intelligentes » apparues dans les applications bancaires sont celles qui classent automatiquement les achats en différentes catégories : loisirs, transports, mode… Présentant aussi souvent des bilans mensuels, des taux de variations et des synthèses pratiques de l’activité bancaire, elles aident ainsi à mieux gérer nos budgets.
Certaines de ces applications, comme celle d’AXA Banque, vont plus loin et permettent de détecter, grâce à l’intelligence artificielle, des anomalies potentielles sur les comptes bancaires : prélèvement en augmentation, achat dans une boutique inhabituelle, opération en double, risque de découvert… Un algorithme prend en compte les habitudes du client, ses activités mais aussi sa localisation et ses préférences pour repérer des transactions suspectes. Dans ce cas, l’utilisateur reçoit une notification lui permettant d’agir si l’erreur est vérifiée.
Le système est de plus capable d’apprendre en continu en fonction de l’évolution des transactions de l’utilisateur et d’adapter ses signalements. Des applications, encore plus évoluées sont par exemple capables, en période de déclaration des revenus, de passer en revue toutes les dépenses de l’année pour détecter les éventuels dons à des associations éligibles à une réduction d’impôt et de les rappeler à l’utilisateur. D’autres sont en mesure de signaler la fin d’offres d’essai à des abonnements souscrits et d’éviter ainsi des paiements récurrents inutiles.
Ces assistants virtuels, comme Eno développé par Capital One, qui regroupent ces différentes fonctionnalités et qui équiperont peu à peu nos smartphones, deviennent donc de moins en moins passifs. Ils n’attendent pas qu’on leur soumette une demande pour agir, comme les chatbots présents sur les sites internet. Ils sont au contraire actifs en permanence, développent une certaine autonomie grâce à l’intelligence artificielle et interpellent spontanément l’utilisateur pour lui faire des recommandations. C’est certainement l’innovation la plus significative car elle établit un nouveau modèle de conseil, prenant en compte l’activité quotidienne de l’utilisateur et lui offrant un accompagnement humanisé.
Dans un contexte où les exigences des utilisateurs ne cessent de croître, ce type d’assistant virtuel devrait encore se développer et évoluer vers de l’hyper-personnalisation. Même s’ils reposent sur des algorithmes et des développements spécifiques, des professionnels doivent être formés à les imaginer, à les concevoir et à les vendre aux banques.
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Adrian Pellegrini est un expert en intelligence artificielle et en machine learning. Il a contribué au développement de plusieurs start-up.
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